Le transfert de connaissances et de technologies de nature publique en agriculture
Cette conférence a été présentée comme séminaire, au Centre de recherche et de développement de Québec, par monsieur Stéphane Gariépy, ingénieur, M.Sc., Bureau de transfert de connaissances et de technologies, Agriculture et Agroalimentaire Canada.
Transfert de connaissances, transfert technologique, technologie de nature commerciale, ou publique, continuum de l'innovation, continuum RDT, innovation linéaire, innovation ouverte, approches centrées sur l'usager, laboratoires vivants, diffusion, adoption, connaissances formelles, connaissances tacites… autant de concepts qui se bousculent et s'entremêlent, et qui demandent à être clarifiés!
À Agriculture et Agroalimentaire Canada, le transfert de technologies réfère formellement à la commercialisation des inventions et obtentions végétales mises au point par les chercheurs et dont la propriété intellectuelle appartient à la Couronne. Pour sa part, le transfert des connaissances est souvent associé à la diffusion ou à la dissémination de celles-ci par le moyen d'articles, de conférences, ou de documents techniques (ex. : fiche, guide). Mais quand considère-t-on qu'une connaissance ou une technologie a été transférée avec succès? Est-ce quand elle est connue de l'utilisateur, ou quand elle est effectivement utilisée par ce dernier?
Choisir la seconde réponse met rapidement en lumière l'envergure du défi que pose le transfert de connaissances et de technologies pour des organisations axées sur le savoir telles que la Direction générale des sciences et de la technologie. Bien plus que de la diffusion d'information, le transfert implique de mettre l'utilisateur au centre de la démarche de recherche, développement et de transfert et de prendre en compte toutes les composantes de son environnement, incluant bien sûr les aspects biophysiques, réglementaires et économiques, mais aussi humains. Ce séminaire présente ainsi divers concepts et enjeux liés au transfert de connaissances de nature publique en agriculture, suivis de deux exemples de projets qui reposent, l'un sur un modèle linéaire d'innovation, l'autre sur une approche de type participatif.
Transfert de connaissances, transfert technologique, technologie de nature commerciale, ou publique, continuum de l'innovation, continuum RDT, innovation linéaire, innovation ouverte, approches centrées sur l'usager, laboratoires vivants, diffusion, adoption, connaissances formelles, connaissances tacites… autant de concepts qui se bousculent et s'entremêlent, et qui demandent à être clarifiés!
À Agriculture et Agroalimentaire Canada, le transfert de technologies réfère formellement à la commercialisation des inventions et obtentions végétales mises au point par les chercheurs et dont la propriété intellectuelle appartient à la Couronne. Pour sa part, le transfert des connaissances est souvent associé à la diffusion ou à la dissémination de celles-ci par le moyen d'articles, de conférences, ou de documents techniques (ex. : fiche, guide). Mais quand considère-t-on qu'une connaissance ou une technologie a été transférée avec succès? Est-ce quand elle est connue de l'utilisateur, ou quand elle est effectivement utilisée par ce dernier?
Choisir la seconde réponse met rapidement en lumière l'envergure du défi que pose le transfert de connaissances et de technologies pour des organisations axées sur le savoir telles que la Direction générale des sciences et de la technologie. Bien plus que de la diffusion d'information, le transfert implique de mettre l'utilisateur au centre de la démarche de recherche, développement et de transfert et de prendre en compte toutes les composantes de son environnement, incluant bien sûr les aspects biophysiques, réglementaires et économiques, mais aussi humains. Ce séminaire présente ainsi divers concepts et enjeux liés au transfert de connaissances de nature publique en agriculture, suivis de deux exemples de projets qui reposent, l'un sur un modèle linéaire d'innovation, l'autre sur une approche de type participatif.
