Plusieurs désordres physiologiques et symptômes de maladies sont observés au champ. Là où les récoltes sont terminées, il est recommandé d'enfouir les résidus et de semer une culture de couverture. Des oeufs et des larves de la deuxième génération de la mouche du chou sont encore observés. D'autres ravageurs sont actifs : cécidomyie du chou-fleur, chenilles défoliatrices, punaises et thrips.
ÉTAT GÉNÉRAL DES CULTURES
Si vous avez des doutes sur les symptômes que vous observez, votre conseiller ou les experts du Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ pourront vous aider. D'ailleurs, afin d'encourager le secteur de l'agriculture biologique et la relève agricole à faire appel à ses services, le LEDP offre gratuitement des analyses à ces clientèles.
Pour toute information concernant les produits phytosanitaires homologués dans les crucifères, consultez les bulletins d'information 2024 N° 1 (herbicides), N° 2 (insecticides) et N° 3 (fongicides).
Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des pesticides et de leurs risques. |
Cet avertissement a été rédigé par Isabel Lefebvre, M. Sc. (CIEL) et Mélissa Gagnon, agr. (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter les avertisseures du sous-réseau Crucifères ou le secrétariat du RAP. Édition : Marianne St-Laurent, agr., M. Sc. et Cindy Ouellet (MAPAQ). La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite.